The Electric Kool Aid Acid List

Lester Bangs

que je découvre

Pas trop le temps de bouquiner en ce moment donc c'est surtout des BDs qui y passent...

mattoti chu fan

ca a l'air joli la montgolfière la ....C'est de qui ?

La mise en couleur et le dessin du Mattoti sont hallucinantes, par contre le reste j'ai vraiment pas du tout aimé... faut que je choppe d'autres trucs de lui histoire de ne pas rester là dessus.

Prosperi Buri La montgolfière, choppé au pif dans un bac de la biblio, très léger, sympa.

1984 - George Orwell
Histoire de la diplomatie française : Tome 2, De 1815 à nos jours

MNML a écrit:Histoire de la diplomatie française : Tome 2, De 1815 à nos jours

Ça m'intéresse ça, c'est paru chez qui ?

C'est chez tempus
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Un peu pris au pif vu que l'autre de prévu avait un papier de mayrde, là j'ai lu le T1 qui part du moyen âge, c'est plutôt bien foutu, à chaque grande période son spécialiste, quelques passages sur l'évolution des organes diplomatiques : ça je zappe; et sinon le truc bien c'est que ça permet de traverser l'histoire et la formation des autres états européens par la même occasion, ça se lit bien et avantage par rapport à d'autres bouquins : la cartographie (déjà chez certains t'en a pas du tout..) conséquente (16 cartes/tomes), couleur, et papier glacé.

Parfait, je m'en vais chopper ça, merci :]

Enorme

Brave New World d'Aldous Huxley

MNML a écrit:Brave New World d'Aldous Huxley

je l'aime bien ce bouquin je l'ai lu quand j'etais au lycee j'en garde un tres bon souvenir.

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Ouaip, l'angle d'attaque n'est pas exactement le même mais il est plus visionnaire que 1984 même : 1931 quoi, j'aime bien le ton utilisé aussi. 1984 est bon, quelques idées fortes (newspeak etc) plus pessimiste, mais perso je l'ai trouvé un peu répétitif je dois dire.

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D'façon Eden ça se lit pas, ça donne mal à l'intestin

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cool ce bouquin.

ouais carrement. j'en suis a peu pres au tiers et franchement j'aime beaucoup. c'est tres bien ecrit (normal me dira-t-on) et fort interessant.

Actuellement en train de lire ceci :

Critique radicale de la marchandisation de la société, du « spectacle » : représentation médiatisée et fallacieuse de rapports sociaux, dans la société de consommation. Du passage du travail pour vivre à vivre pour la marchandise. « L’usage de la marchandise se suffisant à elle-même » ; « le gadget exprime ce fait que dans le moment où la masse des marchandises glisse vers l’aberration, l’aberrant lui-même devient une marchandise spéciale » ;« la société porteuse du spectacle ne domine pas seulement par son hégémonie économique les régions sous développées, elle les domine en tant que société du spectacle. Là où la base matérielle est encore absente, la société moderne a déjà envahi spectaculairement la surface sociale de chaque continent. Elle définit le programme d’une classe dirigeante et préside à sa constitution. De même qu’elle présente les pseudo-biens à convoiter, de même elle offre aux révolutionnaires locaux de faux modèles de révolution. »
etc. etc.
Tout en aphorismes puissants.

« Pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible » Patrick Le Lay

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il a l'air coule ce lien ,cimer

J'attaque :

Dans la lignée des travaux de Pierre Carles, essai-critique par Serge Halimi du Monde Diplomatique des liaisons, (liens sanguins, familiaux, économiques, mondains, intellectuels, institutionnels etc., etc., etc., etc.) entre médias et sphère politique, financière – aussi appelées pouvoir, ou système, sans s’encombrer d’une séparation artificielle.
Mouillés au plus haut point, bénéficiant des retombées toujours gratifiantes du pouvoir, il s’enorgueillit pourtant d’un agréable surnom. « Contre-pouvoir ». Révolté à l’idée qu’on pourrait douter de son indépendance, se targuant de son rôle particulier en démocratie, sachant faire grand usage de sa « liberté d’expression »...
« En France, la marque du succès pour les directeurs de l’information demeure d’obtenir d’un décideur quelconque qu’il exprime ce qu’il veut et quand ça lui chante, mais en exclusivité dans l’organe de presse dont il a la charge. »
Le beurre et l’argent du beurre, on est content au passage d’apprendre qu’un village d’irréductible esprit-libres subsiste quelque part en ce monde. Élite « éclairée » aussi, la séquence du référendum constitutionnel est à ce titre particulièrement emblématique.
A la vitesse où ça va, une propagande en remplace indifféremment une autre. La taille importe peu, plus c’est gros plus ça passe : il suffit de faire vite et surtout sans jamais s’arrêter.
Paru en 1997, mis à jour en 2005, depuis il semblerait qu’on ne puisse plus - aussi effrontément et tranquillement en tout cas, et encore.. - se foutre du monde, sous peine d’avoir l’internet au nokia 3310. On entreprend des retouches cosmétiques, on essaye d’écouler les stocks comme on peut (voir l’article édifiant dans le diplo. du mois sur la crise de la presse : « Autre manière de sacrifier la marge au volume, on offre son journal aux voyageurs des compagnies aériennes, aux clients des épiceries de luxe, hôtels de standing, salles de sport, parking cossus, étudiants de grandes écoles, ce qui accroit sa diffusion, en particulier auprès du lectorat à fort pouvoir d’achat, cible obsessionnelle des publicitaires.* Ce sont les quotidiens qui recourent le plus à ce procédé. Quatre d’entre eux assuraient plus de 20% de leurs ventes de cette manière en 2007 : La Tribune (29%), Le figaro (24), Les échos (24), Libération (22).) alors que la moisissure est systémique.

adapté par Gus Van Sant en 93, je sais pas ce que ça vaut.

Il parait que le film est une bouse kitch sans nom.

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Je me suis acheté Tombeau... et Prostitution de Guyotat. (à défaut d'Eden...)

Le lobbying de Saï et une conférence sur le-dit Guyotat et la censure, m'ont décidés à sauter le pas.

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Le meilleur bouquin que j'aie lu depuis longtemps tout simplement.

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