Best of 2018
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:: The Drone Galaxy :: EARTH
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Best of 2018
Le traditionnel récap de l'année passée, une fois encore j'ai écouté pas mal de trucs nouveaux même si 6 bons mois ont été pris par Meshuggah, voici les highlights de 2018 pour moi, dont pas mal de trucs que j'ai pas retrouvé sur d'autres tops :
- Shame : Songs of Praise, du post-punk coloré de jeunes punks éduqués, c'est bien foutu, c'est fun, c'est plein d'énergie et de bonnes idées. Ils iront loin.
- Idles : Joy as an act of resistance, pareil en plus sévère et plus expérimenté en hooliganisme, production qui calme, jeu de batterie superbe tout en toms, il m'a fallu un peu de temps pour l'aimer à sa juste valeur, mais je suis bien content d'y être maintenant.
- Urarv : Argentum, du black pile comme j'aime = avec Aldrahn
- Le Eagle Twin, mystique et forestier
- Hot Snakes : Jericho Sirens, je connaissais pas le groupe, rock noisy survolté, c'est excellent et après rétrospective, c'est leur meilleur album.
- Le Daughters, dans le top 3 assurément. Excellence post-indus.
- Kali Uchis : Isolation, RnB super bien composé, plein de super idées et mélodies.
- Le Voivod, riche, dense, donne envie d'y retourner tout le temps, et m'a permis de découvrir Dimension Hatross et Nothingface qui sont devenus mes favoris.
- Snail Mail : Lush, indie pop toute mignonne et pleine de mélancolie qui fait toujours plaisir
- j'ai beaucoup aimé le Pig Destroyer à l'inverse d'à peu près tout le monde j'ai l'impression. La prod est pourrie, ok, mais ils font groover le dégueulasse comme personne, les cris vieillissant de JR sont très à mon goût.
- KEN Mode : Loved, dans le top 1, probablement. J'adore.
- le retour de Dark Buddha Rising, écrémé et plus perché que jamais
- Heads. : Collider, cf chronique, top 3, pile ma came
et sûrement des oublis qui reviendront plus tard.
Et vous ?
- Shame : Songs of Praise, du post-punk coloré de jeunes punks éduqués, c'est bien foutu, c'est fun, c'est plein d'énergie et de bonnes idées. Ils iront loin.
- Idles : Joy as an act of resistance, pareil en plus sévère et plus expérimenté en hooliganisme, production qui calme, jeu de batterie superbe tout en toms, il m'a fallu un peu de temps pour l'aimer à sa juste valeur, mais je suis bien content d'y être maintenant.
- Urarv : Argentum, du black pile comme j'aime = avec Aldrahn
- Le Eagle Twin, mystique et forestier
- Hot Snakes : Jericho Sirens, je connaissais pas le groupe, rock noisy survolté, c'est excellent et après rétrospective, c'est leur meilleur album.
- Le Daughters, dans le top 3 assurément. Excellence post-indus.
- Kali Uchis : Isolation, RnB super bien composé, plein de super idées et mélodies.
- Le Voivod, riche, dense, donne envie d'y retourner tout le temps, et m'a permis de découvrir Dimension Hatross et Nothingface qui sont devenus mes favoris.
- Snail Mail : Lush, indie pop toute mignonne et pleine de mélancolie qui fait toujours plaisir
- j'ai beaucoup aimé le Pig Destroyer à l'inverse d'à peu près tout le monde j'ai l'impression. La prod est pourrie, ok, mais ils font groover le dégueulasse comme personne, les cris vieillissant de JR sont très à mon goût.
- KEN Mode : Loved, dans le top 1, probablement. J'adore.
- le retour de Dark Buddha Rising, écrémé et plus perché que jamais
- Heads. : Collider, cf chronique, top 3, pile ma came
et sûrement des oublis qui reviendront plus tard.
Et vous ?
EyeLovya- Doomster intergalactique
- Nombre de messages : 2840
Localisation : Dún Laoghaire
Humeur : Slowcore baby.
Date d'inscription : 11/05/2009
Re: Best of 2018
Super kiffé le Idles aussi, dont surtout cette bonne vieille voix de primate anglais en avatar de Barney Greenway pour rockeur de caveau de bistrot, c'est de l'or.
Daughters j'ai bien signé. Trop tard pour le chopper en 33t avec sa sympathique pochette. fée du logis de Turquoise.
Sinon retenu le Nothing, le Nadja et surtout le Current 93. Ou en tout cas si j'en crois mon rym. Le Nothing ce doit d'ailleurs être le seul truc sorti cette année que j'ai choppé en solide, généralement c'est bon signe.
Au rayon - à l'inverse - des gros titres foireux : At The Gates, Alice in Chains, King Dude et Manes sont priés de revoir leur copie.
Daughters j'ai bien signé. Trop tard pour le chopper en 33t avec sa sympathique pochette. fée du logis de Turquoise.
Sinon retenu le Nothing, le Nadja et surtout le Current 93. Ou en tout cas si j'en crois mon rym. Le Nothing ce doit d'ailleurs être le seul truc sorti cette année que j'ai choppé en solide, généralement c'est bon signe.
Au rayon - à l'inverse - des gros titres foireux : At The Gates, Alice in Chains, King Dude et Manes sont priés de revoir leur copie.
Re: Best of 2018
Le big 3 :
Beach House : meilleur album de dream pop synthétique de tous les temps (ceux qui m'ont contredit sont morts dans d'étranges circonstances...)
Denzel Curry : mon petit chouchou
Johan Johansson : meilleur BO du meilleur film du monde de l'année
et après plein de cochonneries :
Frontierer / Sectioned : les inséparables
Candy / The Armed / KEN Mode / Daughters : les hybrides qui font mal
Fatum / Slavehouse / Rapture : respectivement d-beat, black crust, thrash
Hangman's Chair / P.H.O.B.O.S : les français qui font zizir
Flesh Mother / Ordeal : les survivants du sludge
(étonné de voir que je suis celui qui a le plus de musique slowendienne (en attendant Derelictus sûrement ) , alors que j'en ai finalement quasiment pas écouté...)
Sinon niveau film :
Mandy
The House That Jack Built
Climax
Annihilation
Hérédité
Ghostland
El Dia de la Bestia (de 1995) absolument prodigieux
Wake in Fright (de 1971) que j'ai découvert cette année et qui m'a retourné comme une crêpe.
Beach House : meilleur album de dream pop synthétique de tous les temps (ceux qui m'ont contredit sont morts dans d'étranges circonstances...)
Denzel Curry : mon petit chouchou
Johan Johansson : meilleur BO du meilleur film du monde de l'année
et après plein de cochonneries :
Frontierer / Sectioned : les inséparables
Candy / The Armed / KEN Mode / Daughters : les hybrides qui font mal
Fatum / Slavehouse / Rapture : respectivement d-beat, black crust, thrash
Hangman's Chair / P.H.O.B.O.S : les français qui font zizir
Flesh Mother / Ordeal : les survivants du sludge
(étonné de voir que je suis celui qui a le plus de musique slowendienne (en attendant Derelictus sûrement ) , alors que j'en ai finalement quasiment pas écouté...)
Sinon niveau film :
Mandy
The House That Jack Built
Climax
Annihilation
Hérédité
Ghostland
El Dia de la Bestia (de 1995) absolument prodigieux
Wake in Fright (de 1971) que j'ai découvert cette année et qui m'a retourné comme une crêpe.
Krokodil- Doomster intergalactique
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Localisation : Coconut Grove
Date d'inscription : 02/06/2012
Re: Best of 2018
Mandy...
EyeLovya- Doomster intergalactique
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Humeur : Slowcore baby.
Date d'inscription : 11/05/2009
Re: Best of 2018
Ah et Earl Sweatshirt bien sur
EyeLovya- Doomster intergalactique
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Localisation : Dún Laoghaire
Humeur : Slowcore baby.
Date d'inscription : 11/05/2009
Re: Best of 2018
Alors, mon bilan pour cette année.
En musique Slowendienne:
Solstice: White Horse Hill, si tu veux savoir pourquoi, il y a une chronique. D'ailleurs, j'ai eu mon petit moment de gloire sur facebook quand Rich Walker m'a remercié pour ma chronique. Ça fait du bien à l'égo.
Dautha: Brethren of the Black Soil, idem, chronique, et un merci d'Ola Blomkvist.
Mournful Congregation: The Incubus of Karma.
Sleep: The Sciences et Leagues Beneath, Al Cinseros, Matt Pike, Jason Roeder who else?
Urfaust: The Constellatory Practice.
Yob: Our Raw Heart.
Uncle Acid and the Deadbeats: Wasteland, la chronique arrive.
Dirge: Lost Empyrean, pas encore tout à fait dirigé, mais c'est carrément classe et va mériter une régularisation.
Et en métol:
Primordial: Exile Amongst Ruins, je suis un client assez facile, mais je le trouve excellent, assez varié, avec sans doute un bon choix dans le fait d'aérer les compositions avec une moindre prédominance du chant d'Allan.
Voïvod: The Wake, excellente livraison des cousins, Daniel Mongrain est vraiment le guitariste qu'il fallait à ce groupe, ce disque est clairement du niveau d'un Nothing Face et d'un Dimension Hätros, et à ce propos Eyelovya, tu as de quoi passer du bon temps en les découvrant. C'est un point où désormais je considère ce groupe comme mon préféré en matière de thrash metal, pour ce qui est de Killing Technology, loin devant des grands noms du genre qui me lassent de plus en plus.
A Forest of Stars: Grave Mounds and Grave Mistakes, un excellent cru pour ces anglais atypiques.
Et sans oublier le dernier Corrosion of Conformity, le Hooded Menace, le Greyfell, le Craft ainsi que le dernier Witchthroat Serpent mais qui demande à être approfondi.
Cela dit, autant le premier semestre m'avait carrément enthousiasmé, autant sur le second semestre, j'ai eu une impression d'avoir eu moins de chose à me mettre sous la dent, en nouveautés, parce qu'en vieilleries, ça j'y trouve toujours mon compte en terme de découvertes.
En musique Slowendienne:
Solstice: White Horse Hill, si tu veux savoir pourquoi, il y a une chronique. D'ailleurs, j'ai eu mon petit moment de gloire sur facebook quand Rich Walker m'a remercié pour ma chronique. Ça fait du bien à l'égo.
Dautha: Brethren of the Black Soil, idem, chronique, et un merci d'Ola Blomkvist.
Mournful Congregation: The Incubus of Karma.
Sleep: The Sciences et Leagues Beneath, Al Cinseros, Matt Pike, Jason Roeder who else?
Urfaust: The Constellatory Practice.
Yob: Our Raw Heart.
Uncle Acid and the Deadbeats: Wasteland, la chronique arrive.
Dirge: Lost Empyrean, pas encore tout à fait dirigé, mais c'est carrément classe et va mériter une régularisation.
Et en métol:
Primordial: Exile Amongst Ruins, je suis un client assez facile, mais je le trouve excellent, assez varié, avec sans doute un bon choix dans le fait d'aérer les compositions avec une moindre prédominance du chant d'Allan.
Voïvod: The Wake, excellente livraison des cousins, Daniel Mongrain est vraiment le guitariste qu'il fallait à ce groupe, ce disque est clairement du niveau d'un Nothing Face et d'un Dimension Hätros, et à ce propos Eyelovya, tu as de quoi passer du bon temps en les découvrant. C'est un point où désormais je considère ce groupe comme mon préféré en matière de thrash metal, pour ce qui est de Killing Technology, loin devant des grands noms du genre qui me lassent de plus en plus.
A Forest of Stars: Grave Mounds and Grave Mistakes, un excellent cru pour ces anglais atypiques.
Et sans oublier le dernier Corrosion of Conformity, le Hooded Menace, le Greyfell, le Craft ainsi que le dernier Witchthroat Serpent mais qui demande à être approfondi.
Cela dit, autant le premier semestre m'avait carrément enthousiasmé, autant sur le second semestre, j'ai eu une impression d'avoir eu moins de chose à me mettre sous la dent, en nouveautés, parce qu'en vieilleries, ça j'y trouve toujours mon compte en terme de découvertes.
Derelictus- Doomster intergalactique
- Nombre de messages : 1713
Localisation : Rouen
Humeur : A l'Est d'Eden
Date d'inscription : 16/08/2011
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