ingénieur ou pas ingénieur?

Post à 2 balles pour exprimer mon désarroi / désappointement / stupéfaction d'hier soir.
Alors que je lisais mon Beaux Arts  magazine mensuel, en face d'un article sur Jen Luc Verna où sont cité Gisèle  Vienne et Peter Rehberg (qui est à l'origine de la musique du spectacle du monsieur), je tombe sur la rubrique "Playlist d'artiste" qui ce mois-ci est celle d'Emilie Poitiset (inconnue au bataillon). Je vous livre le bestiau tel quel.

Le top 5 d'Emilie Pitoiset
Les couples à bout de souffle engagés dans des marathons de danse, moins pour faire les beaux que pour gagner " francs 6 sous, ont inspiré à Emilie Pitoiset toute une série de pièces: des sculptures tubulaires anthropomorphes vêtues d'habits, carapaces baroques de cuir ou de caoutchouc, et des photos zébrées de lignes de fuite. L'artiste ne se contente pas de livrer en vrac sa bande son idéale: elle trame, entre et avec les  titres, le récit nocturne d'une danseuse esseulée.
(Judicaël Lavrador)

EARTH / Introduction (1996)
note de moi-même: issu de "Pentastar" donc
"C'est comme un déhanché lent dans un bar quasi vide dont la cadence trop rapide des spots bleus noie la réalité de l'heure qu'il est"

ORPHAN / Words Are For The Birds (2010)
"La lumière du jour menace et l'incapacité de s'arracher des leix  angoisse. J'ai adoré regarder cette femme magnifique danser avec  son handicap. ses gestes rituels sont précis et articulés, elle lutte contre ses vieilles superstitions avant de rentrer"

PHARMAKON / Crawling on Bruised Knees (2013)
note de  moi-même: issu de "Abandon"
"Elle aurait pu être un cabot épouvantable"

ELECTRIC WIZARD / Weird Tales / Electric Frost / Golgotha / Altar of Melektaus (2000)
note de moi-même: issu de  "Dopethrone"
"Mais elle s'en foutait, les genoux blues, elle était saisie par la liturgie de la nuit..."

SUNN O))) / It Took the Night To Believe (2005)
note de  moi-même: issu de "Black One"
"La nuit pour y croire"

Tout ça nos ramène 13 ans en arrière et les gros débats sur SunnO)))